Fatalisme, défaitisme, liberté,...

Publié le par Matt

Mais finalement je ne sais meme pas pourquoi je me tracasse toujours comme ça.
Tout ce qui a commencé doit finir.
La fatalité.
Et apres tout, pourquoi se battre dans le vent? Ce dernier aide à avancer, mais on ne peut pas aller contre lui! Sans quoi on recule et je sais de quoi je parle!
Non, on se retrouve parfois dans des conjonctures impossibles. Tout se retourne, peut-être seulement dans la tete, mais cette impression surpasse l'entendement.
Tout se retourne, et on ne controle plus rien, l'esprit s'en va et on ne peut plus rien faire.
On ne s'arrete pas pour tenter de comprendre ce qui se passe, de toute façon rien n'est bien simple.
Et puis on a l'impression de tout compliquer alors que ces choses sont simples. Le sont-elles?
Quelqu'un saurait me répondre correctement? Quelqu'un saurait me sortir de ce pétrin cérébral dans lequel je me suis fourré!
Bien sur que ces choses là sont simples, regardez autour de vous et vous voyez tout de suite! Seulement, pour ne pas faire/être comme tout le monde, une fois de plus, tout se complique, et plus rien n'est faisable.
Blocage instantané, touchdown.
Et pourtant, le but pourrait être intéressant! Compte tenu que ce dernier soit atteint évidemment! Car en cas d'échec, toute la stratégie mise en place tombe à l'eau, et pas de l'eau tiède si vous voyez ce que je veux dire...

NON, évidemment non que vous ne voyez pas ce que je veux dire! Où est le sens dans ce que je dis une fois de plus? Choisissez en un et voyez si ça me conviendrait! Ayant deux arrieres pensées qui priment ici, j'ose imaginer que d'autres doivent exister, saurez vous trouver mes pensées?
La suite n'est en aucun cas en lien avec ce qui précède!

Certains prennent la fatalité comme un défaitisme. Sous un certain angle je suis d'accord avec eux. Mais c'est une fois de plus question de peser le pour et le contre! Quand on ne peut pas choisir, on se laisse faire, quand on ne VEUT pas choisir, c'est petit, mais ça a le mérite d'être honnete.
Fatalité n'est pas défaitisme quand on ne sait pas ce qui peut se passer apres coup. Vous me direz que rien n'est prévisible... Ha! Vous ne suivez donc pas mes écrits!
La vie est faite de choix, mais quand on décide de ne pas faire de choix, et qu'on se laisse faire (ah j'ai déjà dit ça), est-on réellement défaitiste? (je me répète, mais cette question doit-être éclaircie). Est-ce que le choix de ne pas trancher est preuve de faiblesse d'esprit? J'entends par là, une part de défaitisme, car qui dit pas de décision prise, dit échec sur le dilemne, ce qui correspond, suivez moi bien, à un retour à la case départ à ne pas savoir que faire! Je pense que le fait de choisir de ne pas trancher, est une issue comme une autre, même si cette derniere ne résoud rien, elle a le mérite de ne rien empirer, mais également l'inconvénient de ne pas faire avancer le schmilblik! Où est donc la liberté dans ce troisieme choix? C'est un leurre certainement...
La fatalité, c'est ce troisieme choix. On se positionne ici sous un point de vue tertiaire, celui qui se laisse aller au grès du temps et des évênements sans tenter de les changer. Je ne pense pas, en fait, que ce soit preuve de faiblesse (synonyme de défaite), mais plutot de sagesse. Préférant attendre de meilleurs auspices pour éviter l'inconvénience de l'échec, non pas la peur de tout rater, mais plutot la désagréable sensation d'inaccompli (comment ça c'est la même chose?!!!). Le bonheur ne se cache peut-être pas dans le fatalisme (encore moins dans le défaitisme vous me direz), mais il n'empeche qu'ainsi rien ne change.

Oui, rien ne change, mais, la volonté de départ n'était-elle pas de tout changer?! A défaut de tout changer, disons de modifier quelques traits?
Il advient donc que le fatalisme n'est qu'une issue de secours précaire! On ne peut certainement pas vivre dans le fatalisme, avec une part modérée peut-être, mais se laisser entierement guider par les heures qui passent est me semble-t-il impossible, ou dans tous les cas malsain. Le fatalisme, ce serait un moyen à utiliser dans un régime politique totalitaire! Car il inhibe toute forme de liberté, hors le totalitarisme a été reconnu pour ces aspects allant à l'encontre des libertés.

Aujourd'hui, on s'exclame à vouloir offrir des droits à tout le monde et dans tous les sens. Mais on oublie qu'au départ, un seul droit existe, c'est le droit d'être libre, celui d'accéder à toutes les formes de libertés qui existent (saurions nous les compter?); rappelons que ce droit FONDAMENTAL s'accompagne d'un devoir qui est tout aussi FONDAMENTAL: respecter la/les liberté/s de l'autre (tout le monde connait le dicton).
Je m'excuse aupres des puristes qui voient une quelconque démarcation entre la Liberté, et les libertés, je n'en fais pas, c'est un choix personnel.

Si on prend les courrants de pensée, sans réfléchir au fond de leur discours mais simplement à leur noms pour les libéraux, et si on prend les anarchistes, dans le sens où tout ce qui les intéresse tient au final lieu dans les libertés; et bien si on choisit ces deux courrants, que voit-on??? Ils pourraient bien s'entendre non?
Plus sérieusement, je ne suis familier avec ni l'un ni l'autre de ces deux mouvements, mais je m'amuse à penser que le monde pourrait être meilleur si on se mettait tous ensemble à voir qu'on a tous un but commun: le bonheur! On ne vit pas pour travailler, on ne vit pas dans le seul but de vivre ou de mourir, on vit pour essayer de vivre des moments heureux, à chacun son échelle (car trop de disparités existent aujourd'hui pour aspirer à l'égalité entre tous les hommes, on mettra du tout à les éradiquer, mais il faudra se battre!)

Je m'arrete ici car je pourrais continuer sur des lignes et des lignes, mais la vie ne s'écrit pas... elle est.

Publié dans Osef

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